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Pourtant submergés de données, les dirigeants canadiens ont soif de plus, et sont prêts à mettre la main au portefeuille

TORONTO, 24 oct. 2019 (GLOBE NEWSWIRE) — Partout sur la planète, les entreprises amassent de grands volumes de données dans l’espoir d’améliorer leur rendement, de voir les tendances et de combler les attentes grandissantes des consommateurs. Et pourtant, près de 75 % des dirigeants d’entreprises de services financiers et de compagnies d’assurance dans le monde avouent être déstabilisés par la fragmentation et la pléthore de données disponibles et avoir du mal à développer de bonnes capacités d’analyse. Au Canada, 65 % d’entre eux affirment se noyer dans un océan de données.
C’est dans cet esprit que TransUnion (NYSE:TRU) a commandé une nouvelle étude auprès d’Aite Group, qui a révélé que les secteurs des services financiers et de l’assurance ne prévoyaient pas tarir leurs sources de données. Au contraire, ils se tournent même vers l’intelligence artificielle (IA) et l’apprentissage machine (AM) pour perfectionner leurs systèmes d’analyse de l’information disponible. Cette étude mondiale s’est penchée sur les processus, les outils, les sources de données et l’efficacité opérationnelle des solutions d’analyse dans ces deux secteurs. À l’aide d’un sondage électronique quantitatif, Aite Group a sondé 682 dirigeants en marketing et en gestion du risque au sein d’institutions financières au Canada, aux États-Unis, au Royaume-Uni, à Hong Kong et en Inde, dont bon nombre font des affaires à l’échelle mondiale.L’étude a également démontré que le raz-de-marée des technologies d’intelligence artificielle et d’apprentissage machine devrait se poursuivre durant les deux prochaines années, alors que trois dirigeants sur quatre à l’échelle mondiale (74 % au Canada) songent désormais à intégrer ces nouvelles technologies d’analyse à leur plateforme. Il faut dire qu’elles sont particulièrement avantageuses, car l’IA et l’AM peuvent réduire la durée du cycle d’analyse traditionnel, qui peut passer de plusieurs mois à quelques semaines, voire quelques jours.« Les entreprises savent que de bonnes capacités d’analyse sont essentielles pour rester dans la course. Même si les dirigeants canadiens peuvent se sentir dépassés par l’immense vague de données, ils comptent continuer à investir dans de nouvelles sources de données pour mieux gérer les risques et répondre aux attentes flottantes des consommateurs », explique Glenn Waine, directeur principal, Sciences des données, stratégie des données et consultation à TransUnion Canada. « Le plus important, c’est de disposer du capital technologique et humain nécessaire pour tirer le maximum de ces données. Autrement dit, les entreprises doivent revoir leur plan d’investissement sur ces deux plans, ce qui comprend l’intégration de l’intelligence artificielle, de l’apprentissage machine et d’autres sources et modèles de données. Au bout du compte, les entreprises qui sauront tirer profit au mieux de ces données et de ces capacités d’analyse pourront offrir une expérience inégalée aux consommateurs, ce qui influencera directement les résultats. »À la recherche de talents et de technologies pour améliorer les capacités d’analyseDans ce monde riche en données, les entreprises qui désirent demeurer concurrentielles doivent faire appel à des solutions d’analyse de pointe et à une expertise en science des données. Toutefois, l’étude montre que plusieurs facteurs, dont la rigidité des anciennes technologies, la pénurie de talents et les obstacles réglementaires, réfrènent l’élan des entreprises qui souhaitent exploiter le pouvoir de l’analytique.« La majorité des institutions financières n’ont pas accès à une plateforme d’analyse globale », précise Tiffani Montez, analyste principale pour Aite Group. « Les entreprises utilisent parfois tout un éventail de répertoires et d’équipes pour gérer leurs activités d’analyse, ce qui donne souvent des approches différentes selon le secteur d’activité, le poste ou le canal. En réponse à ces problèmes, de nombreuses institutions souhaitent regrouper leurs données sur une seule plateforme modulable à laquelle peuvent se greffer de nouveaux modèles de données. »L’amélioration des capacités d’analyse grâce à l’IA et l’AM est l’une des priorités à l’échelle mondiale, mais ses enjeux diffèrent selon les régions. Plus précisément, 14 % des dirigeants admettent que leurs solutions ne permettent pas l’intégration de ces technologies à leurs modèles d’analyse; au Canada, on parle plutôt de 7 %. Cela pourrait être attribuable au fait que seulement 58 % des répondants canadiens croient que ces technologies constituent un avantage concurrentiel, comparativement à 66 % des répondants ailleurs dans le monde.La pénurie de scientifiques des données figure aussi parmi les problèmes pressants qui expliquent que l’on peine à exploiter pleinement les données à l’échelle mondiale. En effet, la demande de spécialistes en science et en analyse des données a explosé suivant l’augmentation du volume de données disponibles. À l’échelle mondiale, 86 % des répondants affirment éprouver de la difficulté à trouver les bons talents dans ce domaine (82 % au Canada).Défis par régionsPour les entreprises, la production de renseignements utiles doit commencer par la simplification des processus et l’arrimage des outils techniques disponibles et des talents disposant des connaissances requises pour donner sens aux données. Selon le rapport, les institutions financières disent augmenter leurs dépenses en recherche de talents et en développement de technologies d’analyse; toutefois, ces entreprises augmentent aussi de beaucoup leurs investissements dans une autre ressource : les données.Malgré les défis entourant les capacités d’analyse, les sources de données devraient continuer d’affluerLes institutions financières misent de plus en plus sur la valeur de l’expansion des données, et on s’intéresse notamment aux nouvelles sources (non traditionnelles, externes, alternatives) dans les secteurs des services bancaires et de l’assurance. Dans les deux prochaines années, 87 % des institutions canadiennes prévoient recourir à des sources de données alternatives (voir tableau ci-dessous), un résultat comparable à celui des institutions étrangères (89 %).Plus de la moitié des répondants planifient d’investir davantage dans presque toutes les sources de données, et 65 % d’entre eux désirent se concentrer sur les nouvelles formes de données, comme les informations mobiles sur les habitudes de navigation et l’utilisation des applications. Au Canada, cette proportion est sensiblement la même (63 %). En outre, 76 % des dirigeants canadiens indiquent que l’intégration des nouvelles sources de données sera un volet très important ou important de leur stratégie commerciale. Malgré cela, l’absence d’outils appropriés continue de poser problème, car seulement 20 % des entreprises canadiennes ont les moyens d’intégrer ces nouvelles sources dans l’ensemble de leurs solutions d’analyse.Hausse attendue des investissements canadiens dans les sources de données alternatives au cours des deux prochaines annéesToujours selon le sondage, 77 % des dirigeants en marketing et 59 % des dirigeants en gestion du risque au Canada prévoient une augmentation annuelle du budget alloué à l’analyse des données. Bien que ces chiffres soient légèrement inférieurs aux résultats ailleurs dans le monde (78 % et 70 %, respectivement), ils démontrent que les entreprises sont prêtes à investir massivement dans l’expansion du volume de données disponibles, et ce, malgré les obstacles actuels comme la préparation et l’élimination des données, qui posent un défi à 67 % des répondants canadiens (contre 76 % des répondants ailleurs dans le monde). À cela s’ajoutent d’autres difficultés opérationnelles majeures comme une technologie peu pratique et la pénurie de talents.« Les entreprises n’ont jamais eu accès à autant de données, ce qui pourrait les aider à se rapprocher de leurs clients, à gérer les risques et à orienter leur stratégie en général, conclut Glenn Waine. Malheureusement, elles sont nombreuses à ne pas disposer des outils, des technologies, des infrastructures ou des talents nécessaires pour exploiter au maximum cette précieuse information. À l’avenir, les dirigeants en marketing et en gestion du risque au Canada devront à n’en point douter accorder la priorité aux investissements dans des solutions sophistiquées d’analyse des données pour que leur entreprise demeure concurrentielle dans ce monde riche en données. »Pour en savoir plus sur la situation de l’analytique dans les secteurs des services financiers et de l’assurance, consultez le rapport complet d’Aite Group et de TransUnion, Évaluation de l’état actuel : Écosystème de l’analyse mondiale. Vous trouverez également plus d’information sur les solutions d’analyse de TransUnion en cliquant ici.À propos de TransUnion (NYSE:TRU)L’information est un instrument très puissant, et nous en sommes conscients. Notre mission consiste à trouver des moyens innovants d’utiliser l’information pour aider nos clients à prendre des décisions plus éclairées. Nous mettons au jour des histoires, des tendances et des perspectives uniques derrière chaque point de données. Cela permet à plusieurs marchés et entreprises de mieux gérer le risque et aux consommateurs de mieux gérer leur crédit, leurs informations personnelles et leur identité. Aujourd’hui, TransUnion est au service d’entreprises et de consommateurs dans plus de 30 pays répartis sur cinq continents. Établie à Burlington en Ontario, TransUnion Canada propose des services et un soutien de proximité partout au Canada. TransUnion exploite la puissance de l’information pour rendre les économies et les familles plus fortes et sécuriser les communautés du monde entier. Nous appelons cela l’information au service du bien. Pour en savoir plus, consultez le site https://www.transunion.ca/fr/.

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